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Dans ce jardin d’amour tout embaumé
Et plein du gai tumulte du Printemps,
Il est des nids perdus et palpitants
Pour les baisers, ces beaux oiseaux de Mai.

Et de tes pieds aux doigts de sucre rose,
À tes cheveux qui passent l’hyperbole,
Se mariant à mainte fleur mi-close
L’on voit grimper la Grâce, vigne folle.