Page:Ponchon - La Muse gaillarde.djvu/220

Cette page a été validée par deux contributeurs.


C’est Phœbé. Sa douce flamme
S’épanouit dans les cieux :
Ma chère âme
Montre-moi tes yeux.

Comme elle est une et mignarde !
Sourit-elle pas quasi ?
Oh, regarde-
Moi toujours ainsi.