Page:Ponchon - La Muse gaillarde.djvu/216

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Sans doute pour la faire éclore
Les cieux un jour s’étaient baissés :
Je l’entendis toute sonore
D’éclats de rire et de baisers.

Elle était folle, enchanteresse
Et fraîche comme l’eau des puits.
Elle s’appelait la Jeunesse…
Mais je ne l’ai su que depuis.