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Mais… à l’air que l’on respire…
À je ne sais quoi
Qui vous turbule et chavire,
Vous tient sous sa loi ;
Agite jusques aux arbres
Enfin ravivés
Et fait palpiter les marbres,
Aussi les pavés ;
À cette haleine subtile
Qui souffle à la fois
Sur la campagne et la ville,
Les monts et les bois…
Aux roses qui se souviennent
De leur introït,
Aux oiseaux qui nous reviennent
Et qui font : pi ouitt…
À l’eau qui court moins frigide…
Aux sveltes jets d’eau
Dardant leurs pistils rigides
Qui faisaient dodo.
Voire, même à cette pluie
Qui point ne dépleut,
À ce vilain temps de truie
Vraiment scandaleux…