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ment hmportance et la valeur des améliorutions ac: complies-sur la ferme, ainsi que la quotité des pri- mes dues in Pintéressé, sans obérer le propriétaire. De plus, its conciiieraient- ces différends, souvent puériles’, qui surgissent dansles campagnes et qui deviennent, entre les mains deshommes do loi, des procés ruineux ct interminables.

On congoit que, dans la situation précaire on it Défriche- vit aujourtfhui, le cultivateur ne soit ‘gueres inté- mem- ressé as défricher les landes, ni :1 transformer en prairies lesenombreux marécages ou vallons arro-

’sables de nos contrées. L’agriculture restera done a pen pres stationnaire, les landes resteront incultes , tant que l'on n’encouragera pas le travaiileur par un stimulant équitable et rémunérateur. Aussi , malgré les primes que l’on distribue, dans le but d‘imprimer I.esproprie'- qnelque élan aux défrichenients, its ne _s’opé-rent i,',:f‘}’,.f§;'.:.’ qwexccptionnellement ct avec lenteur proprié- 3‘ w'i°"°" ' taires seuls défriclnent, parse que seuls its sont‘ di- rectement intéressés £1 ce genre d‘améliora'tion. Les primes," _douI: la presque totalité leur incombe néces~ sairement, ne font pas défricher un pouce de ter- rain : ce n'est pas en vue de la prime que l‘on défri- cbe; ceux qui la recoivent n'ont pas besoin de ce stimulant. D’ailleurs , les cultivateurs de nos regions infertiies, pourraient-ils raisonnablement songer a o'1‘,_.:'.','f.’.., de’ir'icher, tandis que leurs terres arables elies-mémes "" ‘m'i'

chernems. out un si grand besoin d‘etre améliorées et de rece~