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vicnt tout ‘a fail: improductif; les mauvaises herbes
s‘en emparent.au point que la culture devient impos-
sible ; alors nos cultivateurs , contraints de l’aban-
donner , disenl: qu’il a besoin de repos. Ce vicieuk mokmm assolement consiste, dans les bonnes terres, a mettre, l"e5“'lfo'f‘°n"c~: la premiere année,-froment fumé;la deuxiéme an- ei"cr‘r_:)sr. née, avoine; la troisieme, orge ou blé noir. Les ra- nouaiiles. cines, pommes de terre, panais, betterayes , cultivées
sur unepetite étendue, ne sont point réguliérement comprises dans cet assolement yet ne le modifient
que partiellement.
Dans les terres légéres, _l’assoleme_nt débute par pm 1,5
une récolte nettoyante et améliorante; viennent en- '°ms
légércs. suite deux années successives de récoltes épuisantes _ et salissantes , comme dans I'exemple précédent. Pre- miere année, blé noir cendré; deuxiéme année, seigle fumé; troisiéme année, avoine. Cette rotation recommence ensuite sans autre in- terruption ou variation que le'peu de cultures sar- clées ou fourragéres qui viennent, par hasard et ac- cidentellement, se placer, comme dans le premier exemple, de temps £1 autres, entre cette succession de céréales. ;;,ss.,.,- _ . _ men! (In Dans la partnela plus fertile et la mneux cultivée Léun n‘«-st , , _ guérc du Leon, 1 assolement n est guére mleux entendu. mic-us en-
. e I I , '5 Il est certain que les cultures sarolées et les fourrages sf3L::nen.‘.:.'e
» . . I 1 y entrent dans une proportion pluspnmportante; P,,§,':.:.f§°
mais,. comme ailleurs, on y fait succéder deu-x cé- ,f,"f';f,',,‘.’,',. I fourragéres.
