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par Paltéralion des poumons et d’autres viscéres, dont les tissus contiennent aussi des vets et des abces tuberculeux_.
La clavelée, éruption de boutons ou clons , comme L, c,,,.e,c-L. Pindique ce nom , a dc Panalogie avec la‘ petite- vérole de Phomme. Cette maladie décime afi‘reuse- ment les troupeaux, dans les pays :1 moutons; elle est inconnue A nos contrées. Cela est dd peut-étre in la dissemination de nos bétes in Iaine , qui ne sont jamais agglemérées en nombre considerable, ou hien aux etfets du climat; car l’Angleterre, pgys £1 grands troupeaux, dont la temperature est semblable in celle de la Bretagne , est, comme nous, exempte de la
clavelée.
En petite culture, il est impossible d'entretenir de Désas-an- . o u grands troupe-aux de moutons; cependant, 11 n’y :1 ,',‘,’.',’.‘,’.,,,°,‘;
, . . 1 I - pas d avantage in en noumr on petst nombre; car le };‘,',',"w“{,,f',°e_
produit est insignifiant, et il ne compense pas la Les mou-
‘peine et les dégéts que causent ces’ animaux. itlais ,_ tons indi-
dans l’intérieur du département, or‘: ii existe des 5f.:,°,fé{’,°e“
fermes étendues, dont une grands partie est, inculte, “(;'3;','fff,‘,';‘
'il pent étre avantageux, pour augmenter les engrais, :,‘;';};;;";‘;,{f
d’entretenir un grand troupeau de moutons indige- nes, qui trouvent leur subsistance dans les bruyeres, oi: les autres animanx ne pourraient vivre. L’espéce mérinos ne réussit pas en Bretagne ; le I}a_ce pays est trop froid et trop humide pour leur conve- mm!“
nir ; mais, les races anglaises, nées dans un climat Af;";§:es
dcsincuiles.
