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éléve facilement et 51 peu de frais , est justement celui que les marchands qui fréquentent nos foires nous demandent; c’est le type le plus recherche, celui que l’on place le plus facilementfvoilé une conside-
ration déterminante , qui devrait sufl ire pour guider sfi rement nos éleveurs.
I L’administration des haras pourrait aider nuisszinr “;?rce';<=l;,L-3 ment au perfectionnement de notre espece chevaline, iII§apI:‘i‘:r[Ii:)<eraf qui est si défectueuse , et dont les types sont telle- tinn des
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ment mélanges que nous ne parnendrons ala regene- l1_s.:ies _pa_r
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rer par elle-meme qu’a la longue, dans un avex1|r.,,.;0‘,',I'",',S,s o 1 o I I . h ,
élongne , et en aglssant avec une perseverance et un "“
discernement dont nos éleveurs sont’malheureuse--
- ment incapables. Si’ le dépét de Langonnet était Ce-qn’e|rc
, - . , , d ‘If ' peuple de chevaux de tralts amehorés, nous par- °vr;$..rme
viendrions rapidement :21 créer une rape de trait_ léger, ayant un caractere uniforme et constant; tan- 4 dis qu’aujourd’hui les croisements avec des étalons ‘ de races diverses ont apporté un tel ‘désordre, une telle confusion dans Fespéce bretonne , qu’on ne sait plus quel nom lui dunner. Néanmoins, malgré le me- lange opéré par les étalons de’ toutes races , le type primitif ou commun persiste et prédomine toujou rs , comme on peut u s’en convaincre en parcourant nos foires. Ceci démontre l’int1uence prépondérante de Palimentation et du climat sur les formes, le tem- péramment et les quali-tés de Pespéce chevaline dens
’ ehaque région. Les chevaux do put sang et de sdemi 9.