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dans les autres ; elte ne s’est manifestée que cinq se-
nfaines plus tard, vens La nfi -juillet, dans la zone de Yintérinur, on In températuse subit inoins do varia- tions; sur le littoral sud, plus. tempéré encoré, la ma- ladie p'a point paru cette annéé.
On peutespérer que le mal diminuera d'intensité
s d’année en» annéo pour disparailre ’enfi n compléte-
ment quelque jour. En attendant, Pexpérience a‘dé- ’mo_ntré qtfil fnut cuiiziver de préférence les espéces T.es_-ariélés
hfi liveo sum
précoces, pared-'qu’el¢e‘s out 21- pen prés atteint leusr les molfi ns acccssi les
maturité it Pépoque on Ia maladie se déolare. Les va- 5 1.. riétéss de couleur blanche paraissent p‘Ius'ac(’:essibles ""°"d'.°' que‘ les autresa Patfection; il faut lent préférer, par- mis lbs espéces hatives, celies qui rénssissent le mieux ’et‘ qui- sont les plus producti-ves.
Dés que la dessiccation des pampres est cnmpléte, "‘°‘:,'o‘§“°“ il faut procéder £1 Pextraction; la plupnrt des tubers ‘"“"° im-
me'diate- cules sont encore sains, et ils ne tarderaient pas in memla
dessiccaliun ‘
s'altérer dans le sol. s'il survenait des pluies. des ‘ ' pamprcs. On a essaye dc régenérer la- pomme de terre en la Em; de m,_
renonvelant par des semis de gtaines;mais on ma 3e’-=e’ration
des pummes
pas obtenu de cette expérience les résultats qu’on en de frsreenf-i:r
attendait :: les tuhercules de semis, comme ceux d’an— dc graines. cienne-souche, ont été frappés dc l’a1tératinn.
' Dans les pays de gcande culture, la betterave, cub 3...e,5..e,,
tivéesur nae gnamde écinelle, sert surtout it la fabri»- Sucre dc
calsion tdu snore. On l’obtient du jtis des racines, ,,e,,,,m.,.
btoyées et pressées; On fa-it évapofer par Pébtilifi ion