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changé depuis la maladie , on» ne peut attribuer Mm" qu’une action secondaire aux infl uences atmosphé- d;'_:‘;Im::- riques, dont les eifets se font sentir nécessairement Iemrérv sur les hommes et les végétaux, et plus sensiblement mm sur ces derniers, qui ne peuvent s’y soustraire ; les
uns et les autres s’en,ressentent d‘autaut plus qu’ils
out de ‘la prédisposition :1 les subir, par exemple dans
l‘état de maladie.
Les variations brusques, les alternations fréquentes de la température accélerent remarquablement les progres du mal, qui sont plus lents et moins sensiblcs
dans les années oi‘: il tombe peu de pluie et oh la tem-
pérature reste a pen pres égale. Ceci semble encore .
. ., . . Observa- confirmé par les observations que 1 an faltes dans Ie .;.,.., ¢,;., cours de ces dernieres années. Ainsi, en 1849, il y a d’"‘ °°‘
derniéres
‘ ’ o 0 0 ' I - eu, daus le nord du département, en ma: et Jum, des ‘,‘}f£°,f_‘e';‘j;
pluies d’-orages fréquentes‘: l’altération a paru, dans ""'“°°"°°
des varia-
cette région, des les premiers-ejours de ce second "0*-'-
mnsphe'ri- mois, et avant la mi-juillet, le feuillage des pommes q-;'e‘:|:‘I|-i:___la de terre était arrivé a un état complet de dessicca- tion; dans la région sud, an contraire, le temps a été constamment sec 5 la méime époque; la maladie n'a commencé ta paraltre qu‘a la fin de juillet; les pam- pres ont conservé quelque verdeur jusqu’en septem- % bre, et le rendement en tubercules a été assez abon— Cmfl ém dant. Comme dansjes années précédentes, la maladle mg§_";c
sfest montrée de trés-bonne heure,“ en 1850, sur le ch 1330. littoral nord, et plus totdans les semis situés a Post que