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Vous n’êtes plus, et solitaire,
Je prête l’oreille aux soupirs
Que les arbres et les zéphyrs
Font entendre dans le mystère.

Ô Belle ! ouvrons encor nos cœurs
Aux échos des jeunes années !
Et sur leurs fleurs, toutes fanées,
Versons ensemble quelques pleurs !…


Septembre, 1893.


FIN