dans ces deux séries ; soient aussi et les valeurs de A qui auront ou qui ont eu lieu à la ième épreuve ; et faisons
les sommes s’étendant à toutes les épreuves de chaque série, c’est-à-dire, les deux premières depuis jusqu’à , et les deux dernières depuis jusqu’à . Si les causes C1, C2, C3,… C, ne changent pas d’une série d’épreuves à l’autre, la quantité du no 105 ne changera pas non plus ; en désignant alors par et des variables positives ou négatives, mais très petites par rapport à et , les équations relatives aux valeurs moyennes de A dans ces deux séries, seront
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, ;
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(15)
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et leurs probabilités respectives et auront pour expressions
,
;
et étant des polynomes qui ne contiennent que des puissances impaires de et . De plus, si les séries se composent d’épreuves différentes, on pourra considérer ces valeurs de et comme des événements indépendants l’un de l’autre ; et par la règle du no 5, la probabilité de leur arrivée simultanée sera le produit de et . Ce sera aussi la probabilité d’une combinaison quelconque des deux équations (15), et, par exemple, de l’équation que l’on obtient en les retranchant l’une de l’autre, savoir :
.
Ainsi, en désignant par le produit , et négligeant le terme