gative, très petite par rapport à ; que soit un polynome qui ne contienne que des puissances impaires de ; et que l’on fasse
,
cet infiniment petit , sera la probabilité de l’équation
.
En considérant de même la quantité
,
comme une chose susceptible des valeurs correspondantes aux causes C1, C2,… C, et dont les probabilités, à chaque épreuve, seront celles de ces causes mêmes ; désignant par une quantité positive ou négative, telle que le rapport soit une très petite fraction, et par un polynome qui ne contienne que des puissances impaires de ; faisant ensuite
,
et, pour abréger,
,
cette expression de sera la probabilité que la moyenne des valeurs de la quantité dont il s’agit, savoir
,
ne différera de que d’une quantité déterminée, de l’ordre de peti-