Page:Poisson - Heures perdues, 1895.djvu/88

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 75 —

iii

Longfellow, tu fus grand et les muses voilées
Sur ta cendre disent tes vers.
Tu ne chanteras plus, mais tes strophes ailées
Planeront sur tout l’univers.


Barde, tu n’avais pas cette note éclatante
Que jettent les clairons vainqueurs,
Mais ton luth plus serein et ta voix plus chantante
Charmaient et consolaient les cœurs.