Page:Poisson - Heures perdues, 1895.djvu/248

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 235 —



Encore essoufflé de sa course,
Il nous dit — récit fabuleux —
Que dans l’eau claire de la source
Il a plongé son pied frileux !


Que pour saisir les demoiselles
Et leurs amis les papillons,
Bien trop rapides sont leurs ailes,
Ses petits bras pas assez longs !


Plus de robe ! Ça le transporte.
Il faut voir de quelle façon
Chevaleresque et crâne il porte
Son premier habit de garçon.