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L’HORLOGE


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Lombre tiède du soir était lente à venir
Et, pensif, je disais ô jour, vas-tu finir ?
Horloge, que fais-tu, que ton aiguille noire
Se traîne lentement sur ton cadran d’ivoire ?
Précipite ta marche et ramène la nuit,
La nuit qu’aime le rêve et que le sommeil suit.