Page:Poisson - Heures perdues, 1895.djvu/106

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


LE CHEVEU BLANC


Dépouille de mon front parfois triste et brûlant,
Je te tiens prisonnier, ô premier cheveu blanc !
Es-tu né du travail ? Messager de vieillesse,
Avant l’heure viens-tu du printemps qui me laisse