Page:Poisson - Heures perdues, 1895.djvu/102

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


LE SOUVENIR


Le ruisseau s’échappant de son obscure source
N’y peut plus revenir ;
Ainsi glissent nos jours sans trêve et sans ressource,
Et nous n’y revenons que par le souvenir.