Le travail accompli quand le corps décrit le cycle est égal à la surface de ce cycle que l'on peut assimiler à un parallélogramme ; on a donc
La quantité de calorique empruntée à la source chaude le long de l'isotherme AB est, par suite de l'hypothèse de l'indestructibilité du calorique, une différentielle exacte (28) ; par conséquent
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La température ne variant pas le long de AB, nous avons
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L'adiabatique AD nous fournit les deux équations
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Multiplions l'équation (1) par la dernière, l'équation (2) par la troisième, et retranchons ; nous obtenons
ou
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Mais, d'après l'expression trouvée précédemment (43)