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transcendantes, et cependant on ne voit pas encore très bien comment on pourra passer d’une classification à l’autre ; mais, si on l’avait vu, cela serait déjà fait, et ce ne serait plus l’œuvre de l’avenir.

Le premier exemple qui me vient à l’esprit est la théorie des congruences, où l’on trouve un parallélisme parfait avec celle des équations algébriques. Certainement, on arrivera à compléter ce parallélisme, qui doit subsister, par exemple, entre la théorie des courbes algébriques et celle des congruences à deux variables. Et, quand les problèmes relatifs aux congruences à plusieurs variables seront résolus, ce sera un premier pas vers la solution de beaucoup de questions d’Analyse indéterminée.

L’algèbre.

La théorie des équations algébriques retiendra longtemps encore l’attention des géomètres ; les côtés par où l’on peut l’aborder sont nombreux et divers.

Il ne faut pas croire que l’Algèbre soit terminée parce qu’elle nous fournit des règles pour former toutes les combinaisons possibles ; il reste à chercher les combinaisons intéressantes, celles qui satisfont à telle ou telle condition. Ainsi se constituera une sorte d’analyse indéterminée où les inconnues