tourbillon dans le nuage cosmique, direction qui n’est autre que celle de l’apex. Le plan des oblique à l’axe des sera pris parallèle à l’écliptique, auquel M. Belot suppose que le plan de rotation du tourbillon primitif était parallèle.
Une molécule quelconque M d’une nappe tourbillonnaire subit de la part du nuage cosmique une résistance de milieu qu’on peut supposer proportionnelle au carré de la vitesse. Comme la vitesse avec laquelle le tube-tourbillon est venu frapper la nébuleuse amorphe est excessivement grande (M. Belot estime, peut-être un peu arbitrairement, qu’elle serait de l’ordre de 75 000 kilomètres par seconde), la composante
de la vitesse de M parallèlement à OZ est incomparablement supérieure à ses autres composantes ; la résistance opposée au mouvement, qui est supposée proportionnelle au carré de la vitesse, est assez grande pour que l’on puisse négliger devant elle toutes les autres forces ; si bien que l’on peut écrire
désignant le coefficient de la résistance proportionnelle au carré de la vitesse. Cette équation s’écrit
(1) |
ou encore
Intégrant, il vient
(1)′ |
désignant la valeur initiale de la vitesse de translation à l’instant du choc.
Nous pouvons aussi, de l’équation (1), tirer la valeur de : nous avons