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LXXXII
u-dessus de la commode, vers Hille-Bobbe suspendue convergent les regards de Ludine. Il la tente l’alambic
sans doute grumelé de toutes sortes d’effondrilles
et dont le couvercle relevé se montre criblé de
signes cabalistiques, il la tente le hibou fatidique
sur l’épaule… Elle l’émérillonne et elle l’épouvante la petite fille vieillotte, si peu grognonne,
point gâtée en son jeune âge par des parents
morts depuis des siècles…
Et le tête-à-tête est continu entre Ludine et son eau-forte sur parchemin de Franz Hals, l’unique parure de la chambre. Elle redétaille sur le front la mèche de chevelure rébellionnée