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Condors (maintenant) des ans éter- nels ébranlent à ce point les hauteurs de l’air avec un tumulté de foudre, que je n’ai plus de temps pour des soins ardents, les yeux fixes sur l’inquiet ciel. Et quand une heure aux ailes plus calmes étend sa plume sur mon esprit — passer ce peu de temps avec la lyre et le rythme (choses défendues !) mon cœur s’en ferait un crime, à moins qu’il n’ait frémi à l’unisson des cordes.