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ment après est le commencement d’un mot, et, des six caractères qui suivent ce the, nous n’en connaissons pas moins de cinq. Remplaçons donc ces caractères par les lettres qu’ils représentent, en laissant un espace pour l’inconnu :


t eeth.


» Nous devons tout d’abord écarter le th comme ne pouvant pas faire partie du mot qui commence par le premier t, puisque nous voyons, en essayant successivement toutes les lettres de l’alphabet pour combler la lacune, qu’il est impossible de former un mot dont ce th puisse faire partie. Réduisons donc nos caractères à


t ee ,


et reprenant de nouveau tout l’alphabet, s’il le faut, nous concluons au mot tree (arbre), comme à la seule version possible. Nous gagnons ainsi une nouvelle lettre, r, représentée par (, plus deux mots juxtaposés, the tree (l’arbre).

» Un peu plus loin, nous retrouvons la combinaison ;48, et nous nous en servons comme de terminaison à ce qui précède immédiatement. Cela nous donne l’arrangement suivant :


the tree ;4(‡?34 the,


ou, en substituant les lettres naturelles aux caractères que nous connaissons,


the tree thr‡?3h the.