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VIE
de sa fille Timoxène, à l’âge de deux ans ; son courage à supporter cette perte ; éloge de cet enfant. XV. Sa tendresse pour ses enfans ; sa bonté pour ses esclaves ; sa sensibilité même pour les animaux. XVI. Occasion où il dément ce caractère par le sang-froid avec lequel il fait châtier en sa présence un de ses esclaves. XVII. Sa fortune et son état à Chéronée. XVIII. Incertitude de l’époque de sa mort et du temps qu’il a vécu. XIX. Son caractère moral. Exactitude et douceur de ses principes. XX. Deux occasions où il ne soutient pas l’impartialité qui lui est ordinaire ; la première dans son jugement contre Hérodote. XXI. La seconde dans ses traités contre les Stoïciens. Son antipathie pour ces philosophes, et son injustice à leur égard. XXII. Son opposition à la secte d’Épicure, plus juste et mieux fondée. XXIII. On le justifie sur l’accusation d’une excessive crédulité dans les faits qu’il rapporte. XXIV. Sur le reproche de superstition. XXV. Prétexte de son inculpation. ΧΧVI. Ses idées pures et sublimes sur la divinité. XXVII. Elles ne l’ont pas empêché de persévérer jusqu’à sa mort dans le paganisme. XXVIII. Division de ses ouvrages philosophiques en dix classes. La plus intéressante est celle des écrits de pure morale. XXIX. Mérite de ce genre d’ouvrages. XXX. Idée sommaire de chacun. XXXI. Importance de ses traités de politique. XXXII. Sagesse de ses préceptes. XXXIII. Les ouvrages de physique et de métaphysique sont la partie la plus faible de cette collection. XXXIV. Exception pour le traité de la face qui paraît sur la lune. Jugement des traités sur les animaux. ΧΧΧV. Ses questions platoniques. Son Timée. Ses écrits contre les Épicuriens. XXXVI. Intérêt de ses ouvrages mythologiques, et en particulier du Traité d’Isis et d’Osiris. XXXVII. Ses ouvrages de littérature sur les Romains, sur Alexandre et sur les Athéniens, paraissent être le fruit de sa jeunesse. Idée du Traité sur la musique. XXXVIII. Ses questions romaines et ses questions grecques font connaître des usages particuliers des Romains et des Grecs. XXXIX. Ses Mélanges, ou ses Propos de