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après lui ont cru trouver dans ses poëmes des choses même auxquelles il n’avait pas pensé ? Quelques-uns ont été jusqu’à employer ses vers pour la divination, et n’y ont pas eu moins de confiance qu’aux oracles d’Apollon[1]. D’autres, en transposant ses vers, et en les cousant, pour ainsi dire, les uns aux autres, les ont adaptés à des sujets absolument différents[2].



  1. Comme on a fait pour les vers de Virgile : ce qu’on appelle sortes Virgilianæ.
  2. C’est ce qu’on nomme des Centons.