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suffisamment perle du panax (xn, 57) : quant odeur du vlu. Telle est Phístoire des plantesâ Ê au llbauotis, ou le sème dans des terralns meu— de jardin, en tant qu’allmentalres seulement ; 1 bles, malgrés, et où tombe la rosée ; la racine, sem— ll reste encore (car jusqu’à présent nous n’avonsblable è celle de l’olusatrum (xtx, —ts), à une traité que du mode de culture et de quelques déodeur qui ne diffère en rien de l’eueens ; vieux tells succincte) à développer une importante 2 d’un au, ll esttrès-bou è l’estomac. Quelques-uns elaboratlou de la nature dans ces plantes. On ne lui donnent le uom de romarin. Le smyruinm peut connaître le vrai caractère deebaque plante — (xrx, 48 ; xxvn, 109) se sème dans les mêmes que par les effets médicaux qu’elle produit ; œuterralns ; la rache a le goût de myrrhe : le slli— vre sublime et mystérieuse de la Divinité, et auquastrum se sème de même. Dans les autres plan— dessus de laquelle ll n’est rien. Nous n’avons pas tes ll y a des différences et d’odeur et de goût, voulu faire au fur et à mesure —l’histoire médicale l’aneth, par exemple ; les dlversltés et les de chaque plante, et avec raison ; car ceux qui I vertus en sont sl grandes, que les propriétés désirent en connaître les propriétés curatives , nou-seulement se modlllent l’une par l’autre, ’mais encore se centralisent absolument : les culslulers oteut dans les mets le goût de vinaigre

avec l’ache ; les sommeliers détruisent, avec la même plante mlse dans des sachets, la mauvaise 1

seriiur semlne. Radiœm babel olusatrl, ulhil a tlmre dif, ferentem. Usus ejus post annum stomacho saiuberrlmus. Quidam cam nomine alio rosmarinum appellent Et smyr* 2 nlum olus serilur iisdem locis, myrrhamque radice resil F

r pit. Eadem et siliquaslro satlo. Beliqua a cœleris et odore elsapore diffèrent, ut anethum : tanlaque est diversilas n atque vis, ut non solntn aliud allo mutetur, sed etiam " in totnm auferatur. Apio eximunt coqui obsoniis sestum : eodem eeilarii in saccis odorem vino gravem. El hac% 3 tenus hortensia dicte sint, ciborum gratis dumtaxat. I

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sont autres [que ceux qui désirent en connaître les propriétés alimeutalres], et les uns et les autres aurelent éprouvé de longs retards sl favais tout confondu. De cette façon cbsque partie seralsolúe, etou pourra les réuulr sl l’on veut.

Maximum quidam opus in llsdem natnraereslat, quouism provenus tanlum adhue, summasque quasdam trac ? tavimus. Vera autem cujusque natura non nisi medieo effectu pernosci potesl, opus íngens oeenilumque divinitatis, et quo nullum reperiri possit majus. Ne singulis id rebus contexeremus, juste fecit ratio, quum ad silos me.dmdi deslderla pertluereutz longis u trins que dflationlbn fntnrls, si miseuissemus. Nunc suis quoque psrtibus constabunt, poteruutque a voleutibus jungi.