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les Vénètes d’Italie, dont le nom est lemême, en loin de l’Euphrate ; Diocésarée, Tyanes, Castaba sont issus ; la ville de Sesamum, appelée aujour — les, Magnopolis, Zela ; au pied du montArgæus, 2 d’hui Amastris ; le montCytorus, à 63, 000 pas de Mazaca appelée maintenant Césarée. La partie de 2 Tium ; les villes de Cimolis, de Stephane ; le fleuve la Cappadoce qui s’étend au-devant de la grande Parthénius, le promontoire Carambis s’avançant Arménie s’appelleMélitène ; au— devant de la Com énormément dans lamer, et situé à 325, 000 pas, magène, Cataonie ; au —devant de la Phrygie, Gar ou, d’après d’autres, à 350, 000, del’ouverture du sauritis, Sargarausène, Cammanène ; au-devant Pont-Euxin, à la même distance du Bosphore de la Galatie, Morimène : là les Cappadociens sont Cimmérien, ou, d’après quelques-uns, à 312, 500 limités par la rivière Cappadox, ils en ont pris pas ; les villes de Carambis et d’Armène, qui le nom ; ils portaientauparavant celui deLeucosy n’existent plus ; encore debout, Sinope, colonie, à riens ; le fleuve Lycus sert de limite, au delà de 164, 000 pasdu montCytorus ; lefleuve Évarchus, Néocésaréesus nommée, entre la Cappadoce et la la nation des Cappadociens, les villes de Gaziura petite Arménie. Dans l’intérieur se trouve aussi et deGazelum ; le fleuve Halys, descendant du Céraunus, célèbre (2) ; sur la côte, à partir de la pied du Taurus à travers la Cataonie et la Cappa— | ville d’Amisus, la ville et le fleuve de Chadisia ; la 3 doce ; les villes deGangre, de Carusa, d’Amisus ville de Lycastum, à partir de laquelle commence libre, à 130, 000 pasde Sinope ; le golfe d’Amisus, la contrée de Thémiscyra. qui s’avance si profondément dans la terre, qu’il IV. Lefleuve Iris, quireçoit le Lycus ; dans l’in : 1 fait del’Asie presque une fle. Delà au golfed’Issus térieur, la ville de Ziela, célèbre par la défaite en Ciliciei’ya, par terre, 200, 000 pas etplus ; daus de Triarius (67 av. J. C.) et par une victoire de tout ce trajet, les auteurs ne comptent que trois J.César (47 av. J.C.) ; sur la côte, le fleuve Ther nations quipuissent être appeléesGrecques à juste modon, ayant sa source près d’un château appelé titre : la Dorienne, l’Ionienne, et l’Éolienne ; les Phanarée, et coulantau pied du montAmazonius ; autres sontdes pations barbares. A la ville d’A une ville de Thermodon qui n’existe plus, et cinq misus tenait jadis la ville d’Eupatoria, fondée par autres, Amazonium, Themiscyra, Sortira, Amasia, Mithridate ; après la défaite de ce prince (v11, 27), Comana, détruites aussi ; Mantium, qui subsiste elles furent réunies sous le nom de Pompeiopolis. encore ; (iv.) les nationsdesGénètes et des Chaly III. ( 11.) La Cappadoce a dans l’intérieur Ar— bes ; la ville de Cotyorus ; les nations des Tibaré. 2 chelais, colonie de l’empereur Claude, baignée niens et des Mossyniens, qui se tatouent ; la na par l’Halys ; lesvilles de Comana, baignée par le tion des Macrocéphales ; la ville de Cérasonte Sarus, deNéocésarée par le Lycus, d’Amasia par (xv, 30), le port de Chordule, les nations des Bé l’Iris, dansla Gazacène ; dans la Colopène, Sébas chires et des Buzères ; le fleuve Mélas ; la nation tia et Sébastopolis, petites villes, mais égales à des Macrons ; le paysdeSidène ; le fleuve Sidénus, celles qui viennent d’être nommées ; dans le reste quiarrose la ville de Polémonium à 120, 000 pas deson étendue, Mélita, fondée par Sémiramisnon d’Amisus ; puis les fleuves Jasopius et Mélan-