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rot ; `Iào1›oé¢n ; car c’est ainsi qu’tl tant tlre. L’Archélails de Pline est ce dernier. (VItl, 76, n° 3 ; 8t, n° 2 ; XXVlll, 6, t0 ;XXXVt|,25, 30, 3t.)

Arehemaehoa ce Archlmachus, auteur d’une Histoire de l’Euhce, cité par Athéoée, llt, p. 465, qui le nomme Archemachusd’Bubée. (Vlt, 67, n° 16.)

archibios, auteur d’un écrit adressé au roi Antiochns. C’est probablement le même que t’Archlbtns médecin cité par Galien, Coinp. medicom. see. gen., V, 14, et par Oribasednnslaûollectionde Gocchlus, p. 196. (XVItt, 70.) Archldamus, médecin ; on a de tnt quelques chapitres insérés dans les Veterin. medtc. scrtptores, Bale, 1537. Archimède, de Syracuse, le plns célèbre des mathéntaticleus de fantlqulté, Int tué par un soldat romain Im de la prise de Syracnse, 3 ladélense de laquellell avait lieaocoup contribué par ses inventions mécanlques. On ade lui plusieurs ouvrages, mals il en a perl plns qu’il nenoos en reste. (Vtt, 38.)

Archytas, de Tarente, philosophe pythagoricien, astronome et géomètre, placé par Varron et Colnmette parmi een : qui ont écrit sur Pagrlcultnre ; tt vivait du temps dellenys l’AncIœ.

Arlstagoras, auteur d’un tlvre lntltulé Ašgypttaca ; Il était contemporain de Doris de Samoa, et par conséquent llorimit sous le roi d’Égypte Ptolémée Philadelphe, c’est-I-dire, vers l’an 160 avant Jésus-Ghrlst. (XXXVI, 17.) Ariatuder, auteur d’un livre Sur les prorliges. Varron et Golomelle, I, 1, citent parmi tes écrtvatns sur d’agriculture un Aristandrus d’Athcnes. (XVII, 33, n° 2.) Aristarque, de Stcyonei Il par-alt avoir ecvtt sur la géographie. (V, Index.)

arütée, fils de (lastrobins, de l’lle de Prooonnèse, pète, d’aprü Hérodote, IV, p. 229. Il vécut du temps de Cyrus et de Crésns ; voy. Snidas. Autenr d’on poème intitulé Les Arimaspes, etd’on autre intitnlé Théogonie. (Vtl, 2, n° 2 ; 53, n° 2.)

Aristide, de lfilst, auteur d’I-llatoires de Sicile, d’Itatte, de Perse ; auteur aussi des lillbluques, recnelt de contes ohacènes. Le Scholiaste de Pindare, p. 216, cite un Aristide auteur d’un ouvrage sur Cnide. (tV, 2t ; tV, 23) Aristoeréco, paratt avoir décrit la terre, on du moins t’¿|’|-ipee (V, 10, 11° tt ; VI, 35, n°6 610° 13.) Aristoeñle, auteur de Icmoires eufhtilet, @après le Selaoüaste d’Apotlonies, t, v. 136. (V, 37.) grtsaogene, de Guide, esclave du philosophe Ohryatppe, fut le uédecindïntigone Gonatas ; Arlstogens deThasos, médecin, auteur de dtflérents llvrea médicaux, et entre autres d’un Abrogé des aecoura physiques, adressé s Anllgnne. Suidaa Iatt deux personnages de ces Arislogène ; Harúouil n’eu fait qu’un, et suppose qufltrlstogene de Cnide iut dit Tlaasien perce qu’tt séjourne longtemps 3 Thasos. sa-isangiton, meaeem du reste, meemm. (xxvn, ra.) Ariatooaaque, d’Athènes, parait avoir écrlt sur les planiea. (xlu, 41.)

Ar-Hotnque, deåoles, euteurde livres Burla préparation d|uiel, Sur lapréparationdn vin, Surles abeilles. (XI, 9 ; xlv, 24 ; xix, ss, n° 4.)

Ariaaophane, poete comlpeatbénlen, auteur d’on tresgnnd nombre deconédles, dont il nenons resteptusque one. Il Iorinait vers l’aa 430 avant.léaua-Christ. (XXI, 16 ; XXII, 38.)

Aristophsne, de Milet, mais, d’apl’es Varron, I, t, deMaIles en Cilide, avait écrit sur Pagricolture. (VIII, Index.) Aristote, de Stsgire, illustre philosophe, disciple de Platon, précepteur d’Ale×andre. (II, 60 ; II, -tut ; tV, 22 ; IV, 2s ; v, s7 ; vtt,2, n°7 etn°ts ; ao ; s1, o~ s, s, s, 14 eus ; VIII, ro, n° un, 44, s4 ; |x, s, n° I ; ao,40,4t ; x, is, ss ; xt, m, ua ; xvm, 77, n° 4 ; xxvlu, 14, zi ; xxx, 2.) Àlflllfillfi et non Amntius, auteur d’une Histoire de la guerre panique ; Séoèque, ép. tt4, en fait t’éloge, et dit de fl. NEO 1 rv Il

lul qu’il avait écrit dans le genre de Sallnstc. Il vécut du temps d’Augnste.

Artémidore, d’Éphèse, géographe, vlvait vers l’an 100 avant Jésus«Chrlst. Antenrd’un Périple en onze livres, dont cetnt de Marclen est l’abrégé. (tt, t 12 ; tV, 24, 37 ; V, 6, 9 ; V, 10, n° ll’ ; 35 ; Vt, 15.n° 2 ; 22, n° 7 ; 32, n° 13 ; 33, n° l ;35, n°6 ; 38, n° 2 ;Vlt,2, n° 23 ; XXXVt, 17.) Artómon, médecin ; du reste, inconnn. (XXVltl, 2.) Asarubas, contemporain de Pline, avait écrit sur le sucein. (xxxvu, 2.)

Asolépiade, île Pruse en Blthynie, contemporain du grand Pompeo ; d’abord rhéleur, Il abandonna cette proíessiou pour se faire médecin. Ou ctte de fut un ttvre Snr la conservation de la santé, Gelse, t, 3 ; Sur la conservation du vin, Pline, Xxttl, 19 ; Snr t’hydroptsie, Gœttns Anrelinnns, ttt, 8 ; Snr la médecine, écrit adressé à Mlthrldate, Pline, XXV, 3 ; et d’autres ouvrages. Tontes ces prodiguons om pert. (VII, s1 ; xtv, s ; xx, zo ; xxu, ze ; xxttt, rs, za, 2s ; xxv, s ; xxvt,9 ; xxvt, 1, s ; xxtx, s.) Asctépiade, de ’fragile en Thrace, disciple d’tsocrate ; auteur d’un livre intitnté Tpaypöoóμwa, des choses célébrées dans tes tragédies.

Aretepteaore, fifiire am nam du uvre xxxv, qnt est tout entier consacré s la peintnre ; en conséquence Hardouln pense que cet Ascléplodore est le peintre dont Pline vante t’habiteté dans tes proportions. (XXXV, 36.) Ascontns Pedtanus, amt de Vtrgite ; on a de fut des Commentalres sur les dlsconrs de Gicérou. (VII, 49, n° 6.) Astntns Pottton. tt y à une lettre de tui à Cicéron, X ad fam., 3t. Virgile tni a dédié une de ses églognes. Horace le nomme, ll, od. 1, 13. Valère-Maxime, VIII, 13, l’appelle : Mm mtntma pars romani styli. Asintns Polliou était auteur d’une Histoire romaine qui a perl. (VII, 3t, n° 7,) Astynome, géographe, ctté par Étienne de Byzance, art. xfmpeq. (V, ss.)

— Attale Philometor, rot de Pergame, lits d’l£nmène, tnstitna le peuple romain pour son héritier. Ptntarque (in Demetrio, p. 897) dtt qu’Attate Phitometor cultivait les plantes vénéneuses, et vante te sotn qu’il donnait å la bota› nique. Ilardonln pense que cet Attale n’est pas différent de cetnt qui est appelé Attate, médecin, dans tes Index des tivres XXXII et XXXtll. Gullen dit qu’Attale, roi de Per. game, avait étudté avec beancoup d’attention les médicaments de toutes sortes (De medio. sec. gen., I, ts, et De antid. I, t), et qu’tt avait écrit sur tes remèdes fournis par tes animaux (Defacult. stmpl. medio., X, t).(XVU1, 5 ; XXVtIl, 5 ; XXXII, 27.)-Atteius

Oapiton (Lucius), jnrisconsntte de la plus grande autorité, vivait du temps d’Augnste ; tl appartenait à la secte des sabintens, c’est-lt-dtre de cenx qui tenaient a lp tradttton. Onvrages, qui sont tons perdns : Recueils, Traité sur le droit pontlllcat, Antn-Gelle, IV, 5 ; Traité dessacríti. ces, Macrobe, Saturn. III, 10. (XIV, 15 ; XVltl, 28.) Attetns le Phllotogne. Snétone, Detllustr. gram., m, 3 dtt de lnl : u Attetns Ie PhBologne, fils d’alI’ranchi, né a Athènes z Attelus Gapiton, le jurisconsulte, le disait rhéteur parmi tes grammairiens, grammairien parmi tes rhéteurs. Il Int très-lié avec Saltnste ; et, après la mort de ce dernier, avec Asinins Polllon. » Ouvrages : Gtoses, Festns an mot Ocrem ; Tables, wivoxeç ; Soslpater, I, p. 108 ; Hyle, ouvrage très-volnminenx, cité par Snétone, ih.

Attlcns Julius, contemporain de Celso et de Cotnmette, qni, I, I, Ie dtt auteur d’un livre Sur une enttnre particulière de la vigne. (XVII, 18.)

Mttcos (Titns Pom ponins). chevalier romain, bien connn par sa vie, que Cornétins Népos a écrite, et surtout par sa correspondance avec Cicéron. Onvrages : Annales, Asconlus Petlianns, Oral. Cic. in Pixon, p. 6 ; Portraits des hommes itlnslœs. (XXXV, 2.)

Anlidins Bassins, auteur d’une Histoire romaine. ’Pline