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LIVRE l.

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Guerre des S^qaanais. On peut roir dansQiiinUlien, X, 1 , qoel le caracl^re de 8on style.

Verrius Flaccus, grammairien ; instruisitCaiusetLncius, petit84ils d*Aiiguste , k Rome , et mourut dans un hge irh^ araoc^, soas le r^e de Tib^re, dit Su^tone, De illttslr. 9ramm,, cap. 17. Aulu GeJle cite de lui un oufrage Sur les cboses dignes de m^oire, IV, 5 , et un Sur la signification des mots, V, 17 ; et Macrobe, Saturn.f 1, 4, un opuscule ioUtol^ Saturnus. (VII, 54, n» 1 ; Vli],6 ; IX, 39 ; XV11I, 11 ;XXV1II, 4 ;XXXin, 19,36.)

Vestalis Fabius. Voy. Fabius Vestalis. Vestious (C. Julius Atttcus Vestinus) ; fut consul avcc Silios Nerra Tan de Rome 818 , k la fin du r^gne de N^on, qoi lui fit ouvrir les veines, Tacite, Annal., XV, 48. Vetns Lucius, commaudant Tarm^ contre les Germaios, soos le r^ede N6ron ; con^ut le projet d’unir parun caoal la Moselleetla Sa6ne, Tacite, Annal., WIU 1 1-Vibios Rufmus, auteur inconnu. Hardouin remarque bien qu*un cerlain Vibius Rufus est ci6 par S^n^qne le p^, Conlrov., 1, 8,etpar Dion, LVII ; mais TidenUt^ deces deu personnages n*e8t aucunement ^tablie. Virgile (P. Virgilius Maro) , le prince des poSles laUns, fovori d*Auguste et de M^ne ; mort k Brindes an de Rome 735. Pline a bcaucoup puis^ dans les G^rgiques. ( I , Prtf., 1 7 ; VII , 3 1 , n" 6 ; VIH, 65 , n« 3 ; XI , 23 ; XII,8 ;Xni,M ;XlV,l, n»5 ;3, n° 8 ;4, n" 5 ; 8, n°7 ; 23, W6 ;XV, 2, 16, 17 ; XVI, 66 ; XVII, ^^n^S ; 3, ii«4 ;7, 23 ; 24, n* 4 ; XVIll, 7, n^^S^SO^n^S ; 45, 1 ; 49,0** 5 ; 50, 56 ; 57, n» 3 ; 65, n° 5 ; 71 , 72, 75, 78 ; XIX, 19, n«9 ; XXII, 77 ; XX’UI,4, n° 5 ; 80 ; XXiX, 8 ; XXXV, 23.)

Vitellius , un des amis de Germanicus , pronon^ un dis* coars ooutre Pison , discours qui existait dn temps de Plioe. (XI, 71.)

Vitnive (M. Vilmvius PoUio). Il est cit^ dans rindex des livrt» XVT, XXXV et XXXVI. Son livreSur rarchitecture eit eoCre les mains de toot le monde. Vofcatius, •omomm^ Sedigilus, po^te c^l^e. Voy. Anhi Gelle , XV , 14< PUne le nomme ( XI , 99 ). X.

Xaotbus, fils de Candanlele Lydicn. Pline, XXV, 5, le dlt aotenr dliistolres. Xanlhus ^fait de Sardes ; il florissait vert Tan 500 avant J. C. Ouvrages : Histoire de la Lydie, S^boD , XII, p. 572 ; Magie, saintCltoient d*Alex. , SCrofl /.,lll,p. 431. (XXV, 5.)

X<^oagore. Patrie et ^poque incertaine. Ouvrages : Chrooiques, Scbol. ApoU., IV, v. 262 ;De8t]e8, fitymol., v. £91^ «tx. (V, 35 ;ViI,57, n«»l6.)

X^Qocrate , d’Aphrodise , mikledn ; v6cut du temps de Tibte ; Doos avoos de lul uo livre Sor les aUmentsfoumis par les poissoos. Il avait coropos^ plosieors aiitred oovrages, doot 00 peut voir la liste dans Diog^ La^rte. ( XX , 54, 82, 84, n" 4 ; XXI , 105 ; XXII , 32, 43 ; XXVII , 62. ) X^Mcrtta, d*£phte , fiU de Z^ooo ; cit^ daos TiDdex des livres XXXIII, XXXV ct XXXVII. II v<<cut du temps de N^ron et de Vcspasien, et^ivit sur la pcinlure. (XXXV, 3G, n° 8 ; XXXVI, 67 ; XXXVII, 9, 10 ; XXXVII, H, 63. ) X^nocrate , ^l^ve de Tisicrale ; or, Tisicrate est (ileve dc Lisyppe, qui v^cut du temps d^Alexandre le Grand ; donc ce X^nocrate, slatuaire, a dd vivre du temps des premiers successeursd*Alexandre.1l^rivit surlaciselure. (XXXIV, 19, n« 33. )

X^ophon, d’Ath^nes, discipledeSocrale ; accompagna Cyrus le Jeune dans son exp^dilion, fil la relraitedes Dix mille,eten^rivitle r^it. Pluic, VII, 49, cite v.n P^riple de X^nophon ; mais il n*est pas sQr que cet ouvrage soit du c^l^bre Alh^nien. (VII, 49, n* 2 ; XVUI, 5 ; 60 ; XXXI V, 19, n" 29. )

X^nophon, de Lampsaque, cit^ par Solio, cap. XIX. (IV, 27, n*» 5 ; VI,36,n’3. )

Z.

Zachalias, de Babylone. Autenr d*oo Hvre sor les gemmes, qu*il d^ia ^ Mithridate. ( XXXVll, 60. ) Z600R, de Citiom, cbef de T^le stoique : Diog^ne LaSrte a ^rit sa vie et donn^ r^m^tion de ses ouvrages, lous perdus aiiioard’hui. ( XXV , 21 , 4 ; XXXiV , IP, n*>41. )

Z^oon , de Laodiete , sor le Lycos, m^ecin de la secle H^ropbillenne. Il passait pour on m^edn habile, nuis pour 00 maovais ^crivaio. Il avait compoe^ oo CooMneotaire sor le 111* livre des ifepld^mies d^Hippocrate , GaKen , t. V, p. 410, ed. Basil. llconaacra auisi ooouvrage i rinterpr^tatlon des CaracUres de ce m^nie 111* livre. Apollonius , de la secte emplrique, y r^pondit ; mais Z^non ne se tint paspour battu, et r^pliqua par un noovel ouvrage. (XXII, 44.)

Z^h^is, T/.e1ite, CMliad. VII, hist. CXLI V, v. 163, le cite parmi les auteurs qui ont 6crit en vers sur les formes rabuleuses attribu^es aux hommes ; il cite de lui nn P^riple, v.684.i« :iien, Hist. oniwi.,XVn,30,et Sdiol. Apoll., II, V. 967, en font aossi mentioo. (XXXVll , 1 1 , 23 , 24 , 61.)

Zoile, d^Amphipolis en Mac^doine ; qoelques anciens oependant le disent d’^pli^. 11 fut surnomm^ Homeromaslix, k caused*un onvrage en neuf livres qu1l avait com* pos^ contre les po€mes d*Hom^e. Il est compl^ parmi les mattres de D^mosthine.

Zoroastre. Y a-t-ileu un seul Zoroastre, oo plosieurs ? C*cst sur quoi on n*est pas d*accord, dit Pline, XXX, 2. Zoroastre est dit rauteur des livres connos sous le noro deZend-Avesta, et^tsen langue zend ; maisdans rantlquit ^ on colportait sous son nom des ouvrages sur la oature, sur les plerres, sur les pr^ges tir^ de rinspection des ^toiles, tous sujets qul se rapportent anx ohjets trait ^ par Pline dans le IWre XVIII ; or, c*e8t daus Tindex de ce livre et au chapitre 55 de ce ro6me livre qu’il cite Zoroastre. (VH, 15, n» 5 ; XI,97 ;XVni, 55 ; XXX, 2 ; XXXVH,49, 55,57,58.)

rUMB. — T. I.