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ARGUMENT[1].


Trois jeunes gens sont épris en même temps d’une femme : l’un est un campagnard, l’autre un citadin, le troisième un étranger. Cette femme, pour bien attraper le militaire, fait passer pour sien un petit enfant dont la naissance est mystérieuse. On voit un esclave violent et brutal, qui veut empêcher les louves d’enlever le patrimoine de son maître, et qui cependant se laisse dompter à son tour. Le militaire arrive, et en considération de l’enfant fait de riches présents. Enfin le père de la jeune fille violée est instruit de tout ; celui qui a outragé la fille l’épouse d’un commun accord, et retrouve son enfant dont la courtisane se disait la mère.


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  1. Cet argument, qui est acrostiche, est attribué au grammairien Priscien.