cher Théodore, un homme qui excelle dans les calculs et la géométrie ?
Que veux-tu dire, Socrate ?
Que tu mets sur la même ligne des espèces d’hommes qui diffèrent par leur mérite bien au delà des proportions connues dans notre art.
Très bien, Socrate, par notre Dieu, par Ammon ! On ne saurait avec plus de justice et d’à-propos me reprocher une faute de calcul. Sois tranquille, quelque jour je prendrai ma revanche. – Pour toi, ô Étranger, ne te fatigue pas de nous être agréable, et tout de suite, soit que tu préfères continuer par le politique ou le philosophe, choisis, et poursuis ton discours.
C’est, en effet, Théodore, ce qu’il me faut faire. Puisque nous avons mis la main à l’œuvre, nous ne devons pas nous arrêter que nous ne soyons arrivés au terme de nos recherches . Mais Théétète que voici, comment me conduirai-je avec lui ?
Qu’entends-tu par là ?