Page:Platon - Œuvres complètes, Les Belles Lettres, tome III, 2.djvu/271

Cette page a été validée par deux contributeurs.
233
SOMMAIRE

Reprise de l’interrogation (84 d-85 b).

Retour à la discussion avec Ménon et à la réminiscence : les opinions vraies (85 b-86 c).

Reprise du problème de la vertu : la position de la question et la méthode à suivre (86 c-87 b).

Conditions hypothétiques nécessaires pour que la vertu puisse être enseignée (87 b-c).

La vertu est-elle un don de la nature, ou une science et un produit de l’étude ? Difficultés dans tous les cas. Existe-t-il des maîtres de vertu ? (87 c-90 b).

Appel à Anytos : la vertu, suivant Anytos, est enseignée par tous les bons citoyens (90 b-93 b). — Examen de quelques exemples historiques : Socrate montre que les plus grands hommes n’ont pu enseigner leur propre vertu à leurs fils (93 c-94 e).

Reprise de l’entretien avec Ménon : la vertu ne s’enseigne pas (95 a-96 c).

Qu’est-ce donc que la vertu ? Une opinion vraie (96 d-97 c).

L’opinion vraie et la science (97 c-98 c).

Récapitulation des points admis (98 c-99 b).

Conclusion : Il semble que la vertu soit un don divin.