citum ex iis constantem qui circumhabitarent. Schneider, au mot περίοιϰοι, fait remarquer que dans la Politique, Aristote désigne souvent par περίοιϰοι et περιοιϰίδες, benachbarte Unterthaenige und Sklavendienste leistende Bewohner. Aristote, Polit. vi, 5, dit que les Carthaginois avaient coutume d’envoyer successivement quelques-uns d’entre eux πρὸς τὰς περιοιϰίας pour s’enrichir. M. Thurot traduit : pour administrer les villes dépendantes du territoire de la république, liv. VI, p. 409. Le dernier traducteur de la Politique d’Aristote, M. Saint-Hilaire (t. ii, p. 316), traduit : dans les colonies. Ce sens est peut-être un peu trop spécial, et je préfère interprétation plus générale de Schneider (eine benachbarte und untergebene Staat). Ce pouvaient être des colonies proprement dites, ce pouvaient être aussi de simples dépendances, des provinces, des pays conquis et devenus sujets de l’état. Les colonies proprement dites s’appelaient ἀποιϰίαι. Aristote, dans la Politique, ne confond jamais ces deux mots.
Page 256. — Aussi, comme il arrive dans les longues maladies, notre pays, auprès de ce qu’il était autrefois, est devenu semblable à un corps malade tout décharné... etc. Bekker, p. 154 : ϰααπὲρ ἐν ταῖς μαϰραῖς νόσοις.
Stalbaum, p. 398, lit avec tous les manuscrits :