Oui.
Et dans la science du commandement deux sciences particulières, dont l’une s’exerce sur les choses inanimées, l’autre sur les animaux ; et divisant sans cesse de cette manière, nous nous sommes avancés jusqu’ici, sans oublier notre science, mais aussi sans pouvoir encore définir nettement ce qu’elle est.
Tu as raison.
Ne remarquerons-nous pas que ce n’est plus ici dans le petit nombre ou le grand, dans le libre consentement ou la violence, dans la pauvreté ou la richesse, que nous devons chercher notre élément de définition, mais dans la présence d’une certaine science, si nous voulons procéder d’une manière conséquente à ce que nous avons établi dans le principe ?
C’est ce qu’il nous est impossible de ne pas faire.
Il faut donc de toute nécessité examiner maintenant dans lequel de ces gouvernements se rencontre la science de commander aux hommes,