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A parler à la rigueur, on ne doit reconnaître pour véritablement un que ce qui est absolument sans parties.
Nécessairement.
Or, ce dont nous parlons, cet être à plusieurs parties, ne s’accorde point avec cette définition.
Je comprends.
Mais l’être ne fait-il que participer à l’unité et n’est-il un que de l’unité d’un tout, ou ne devons-nous pas refuser absolument d’admettre que l’être soit un tout ?
Tu me proposes là un choix difficile.
Tu as bien raison ; car dès que l’être ne fait que participer à l’unité, il est clair qu’il est différent en quelque manière de l’unité, et alors il y a autre chose dans l’univers que l’unité.
Oui.
Et encore, si l’être n’est pas un tout par lui-