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NOTES.




DU JUSTE.

J’ai eu sous les yeux l’édition générale de Bekker et l’édition particulière de Boeckh.

Ce dialogue, ainsi que les suivants, n’a jamais été traduit en français.

Nul manuscrit ne donne les interrogations et les réponses proposées par Boeckh ; Bekker les a donc supprimées. Sans les croire indispensables, je les ai admises pour la plus grande aisance du dialogue.


Page 143. — Nul n’est volodrk^efeeiit mechai’t ai involontairement heureux. Bekker, p. 519 : oO^eU exwv irovtipb;, ou^’ axwv ixaxiap.


Quel est l’auteur de ce vers ?




DE LA VERTU.

J’ai eu sous les yeux l’édition générale de Bekker, et les éditions particulières de Fischer et de Boeckh.

Je n’ai à faire aucune remarque philologique sur ce dialogue, dont le texte n’offre aucune difficulté.