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triangulaire. Sekleiermacher a l'air de regretter que Bekker n'ait pas trouvé περὶ τὴν δοθεῖσαν et περιτείναντα dans ses manuscrits. Mais παρὰ est plus juste que περὶ, et peint mieux le trace d'un cercle autour des lignes données d'uft triangle. Sur les lignes données, exprimerait seulement un triangle un peu plus grand que le premier et non pas une figure circulaire, laquelle doit entourer le triangle, au lieu de suivre le tracé de ses lignes, Nous corrigeons donc ainsi notre propre traduction ; Si cette figure est telle qu'en décrivant un cercle autour île ses lignes . . . .

Au moment où nous terminons cette note, nous recevons la dissertation de M. Wex sur le passage en discussion ( Commentatio de loco mathematico in Platonis Menone, Halœ, 1825). N'ayant pas entre les mains la dissertation de Molweide, qui rend compte des tentatives antérieures à la sienne, à ce que nous apprend Schleiermacher, nous avons trouvé avec plaisir dans la dissertation de M. Wex l'indication de plusieurs travaux qui nous étaient inconnus sur cette difficulté célèbre, par exemple, l'essai de Buttmann dans la quatrième édition des quatre dialogues publiés d'abord par Gedjoke, et ensuite par Biester et par Buttmann ; celui de Klugel, Lexicon mathematicarum artium, tom. II, p. 657 ; celui de Jean Trembley, Observations sur un passage du dialogue de Platon