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la danse et les autres parties de la gymnastique, ajoutons quelque chose à ce qui en a déjà été dit, [813b] comme nous venons de faire par rapport à la musique, en ajoutant les préceptes qui nous restaient à donner sur la manière de renseigner. Les filles et les garçons doivent apprendre la danse et les exercices gymnastiques, n’est-il pas vrai ?

CLINIAS.

Oui.

L’ATHÉNIEN.

Il faudra pour les garçons des maîtres, et pour les filles, des maîtresses à danser, afin que les unes ne soient pas plus mal instruites que les autres.

CLINIAS.

A la bonne heure.

L’ATHÉNIEN.

Rappelons donc une seconde fois [813c] l’instituteur de la jeunesse, auquel nous donnons bien de l’occupation, et qui, chargé comme il est, du soin de la musique et de la gymnastique, n’aura guère de loisir.

CLINIAS.

Mais comment pourra-t-il, à son âge, veiller sur tant de choses ?

L’ATHÉNIEN.

Rien de plus aisé, mon cher Clinias. La loi lui