crits, et qu’Ast n’a point comprise. Sans doute il s’agit ici de ptoç ^povt[Jt.o; xal àv^petoç opposé à ^toç a<pp(i>v xal ^zikoç ; mais cet endroit doit être rattaché à tout ce qui précède par quelque lien , et ce lien est ô c(o<pp(«)v Tou d’AokcHaTou qu’Ast trouve inutile, et qu’il regarde comme un débris des phrases précédentes placé maladroitement au commencement de celle-ci par un copiste ignorant.
Page 271. — Et que le fil de la chaîne est plus fort et plus ferme...
Bekker, page 386. iayjj^o^f t£ xat Tiva pçêaiOTTiTa èv TOtç TpaTTolç £i>.yi(poç.
Solide dans sa façon, c’est-à-dire fait solidement, Tp£’7ro[JL£vov ^e^oLibiç. TpOTTOç , T-poTTOt , sc discut en grec des choses comme des hommes ; et c’est une expression atténuante qui a l’avantage de rendre ici la comparaison moins chargée et moins grossière. Ast ne voit pas cette délicatesse , et propose de remplacer £v toiç TpoTTOtç par £v Taiç arpocpaî";.
Ibidem. — Il y a en effet dans tout gouvernement deux choses fondamentales.
Bekker, page 387. A’Jo 7ro>^iT£taç £t^7).
Ici se montre le vrai sens d’fil^o; dont j’ai parlé ailleurs (tome VI, page 371-379 ). eI^oç exprime