ποιήματι, et par là il détruit toute la grâce de cette phrase, et même sa clarté ; car εἴη μοι sans ἐν τῷ ποιήματι est fort obscur, tandis que διακελεύοιτο αὑτὴν θάπτειν suppose nécessairement ἐν τῷ γράμματι, sans qu’on ait besoin de l’exprimer.
PAGE 243. — Et comme les médecins traitent les maladies, celui-ci d’une manière, celui-là d’une autre… ; mais avant d’achever cette comparaison… — Bekker, page 362.
Grou a parfaitement compris l’économie de cette phrase que représente très bien la ponctuation de Bekker. Ast et plusieurs autres critiques ne se sont pas doutes qu’il y avait là une suspension, et ils se sont perdus en corrections arbitraires pour remettre la phrase de Platon sur ses pieds. Ast soupçonne qu’avant καθάπερ ἰατρὸς δέ τις il y avait une demande de Clinias, par exemple πῶς τοῦτο λέγεις, demande dont καθάπερ ἰατρὸς δέ τις serait la réponse.
Ibidem. — Que veux-je dire ?
C’est une question que l’Athénien se fait à lui-même, et non point une interruption de Clinias, comme le veut Ast.
PAGES 247, 248, 249. — Bekker, p. 365, 366.
Lisez, avec Grou, Bekker et tous les manuscrits,