nuscrit du Vatican, que Ficin appuie, on aurait pu lire : πῶς οὐκ οἰώμεθα. Ast se tait sur cette difficulté.
PAGES 238, 259. — Qu’il commence par des considérations générales sur tous ces objets.
Bekker, page 359. Δεῖγμα προενεγκόντα… τὰ λοιπὰ πάντα εἰς δύναμιν διεξελθόντα…, et ensuite ἐν τίνι σχήματι… ἐν ἑνὶ περιλαβόντα εἰπεῖν αὐτὰ οἷόν τινι τύπῳ.
Il faut ici remarquer les mots δεῖγμα, σχῆμα, τύπος. Le premier exprime toujours un point de vue général, ainsi que παραδεῖγμα mais il est moins abstrait, et appartient moins à la langue philosophique. Le second, σχῆμα, est dans le même cas ; et le troisième, τύπος, n’est presque jamais employé que figurativement et même comparativement, οἷον τινι τύπῳ. L’idée de généralité est aussi exprimée par ἐν ἑνὶ περιλαβόντα. Voyez la note sur δύο εἶδη πολιτ., page 430.
PAGE 242. — Pour moi, si j’introduisais dans mes vers une femme opulente qui ordonnât l’appareil de ses funérailles…
Bekker, page 361. Εἰ μὲν γυνή μοι διαφέρουσα εἴη πλούτῳ καὶ θάπτειν αὑτὴν διακελεύοιτο ἐν τῷ ποιήματι…
Ἐν τῷ ποιήματι se rapporte à la fois à εἴη μοι et à διακελεύοιτο. Ast propose ἐν τῷ ποιήματι pour ἐν τῷ