τέ τινα ἀγιλεῖν, et ils forment tous deux, comme il arrive souvent en grec, une seule et même formule dont le sens unique est déterminé par μή τέ τινα ἀδικεῖν. Telle est du moins la seule explication que je puisse trouver de ce membre de phrase, pour l’absoudre du reproche de niaiserie qu’Ast fait à la phrase tout entière.
PAGE 110. — Mais quoi ! les arts d’imitation…
Bekker, page 261. Τί δέ; τῇ ὁμοίων…
Le sens de cette phrase est très clair, quoique la construction en soit embarrassée, et qu’on puisse la concevoir diversement. Je rapporte à la fois avec Ast τῇ τῶν ὁμοίων ἐργασίᾳ à ἐξεργάζωνται et à παρεπόμενονai, et je construis ainsi : ὅσαι τέχναι εἰκαστικαί (quant aux arts d’imitation) ἆρ’ οὐκ ἂν ἐξεργάζωνται τῇ τῶν ὁμοίων ἐργασίᾳ τοῦτο, τὸ μὲν ἡδονὴν ἐν αὐτοῖς (illic ἐν τέχναις ou ἐν τοῖς ὁμοίοις εἰργασμένοις) γίγνεσθαι, καὶ ἆρ οὐκ ἂν τὸ παρεπόμενον (τῇ τῶν ὁμοίων ἐργασίᾳ) αὐτὸ δικαιότατον…
PAGE 111, ligne 7. — Quelquefois est ajouté pour la clarté.
PAGE 114. — Par exemple, si les proportions du corps sont reproduites telles qu’elles sont dans l’original…