toute nécessité convenir que la chose est ainsi.
Soit ; maintenant examinons ceci. Supposons plusieurs frères nés du même père et de la même mère. Ce ne serait pas une chose extraordinaire que la plupart fussent méchants, et que le petit nombre fut celui des bons.
Non.
Il ne serait pas séant, ni à vous, ni à moi, de rechercher si, les méchants étant les plus forts, toute la maison et la famille serait dite avec raison inférieure à elle-même, et supérieure, s’ils étaient les plus faibles ; car il ne s’agit point ici des mots, et nous n’examinons pas quelle expression convient ou non selon l’usage, mais ce qui est bien ou mal en matière de lois, selon la nature des choses.
Rien de plus vrai que ce que tu dis, étranger.
Pour mon compte, je suis content jusqu’à présent de ce que je viens d’entendre.
Considérons encore ce qui suit. Ne peut-on