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Ἐπιειϰῶς συχνὸν ἐπιμένει χρόνον, ἐὰν μέν τις ϰαὶ χαριέντως ἔχων τὸ σῶμα τελευτήσῃ ϰαὶ ἐν τοιαύτῃ ὥρᾳ, ϰαὶ πάνυ μάλα… (Bekker, p. 51.)

Bekker ponctue très bien toute cette phrase, et en saisit parfaitement l’économie. Elle porte tout entière sur la durée du corps et ses divers degrés. Ἐπιμένει 1o ἐπιειϰῶς συχνὸν, 2o πάνυ μάλα συχνόν, 3o ἀμήχανον ὅσον χρόνον, 4o ὥσπερ ἀθάνατον. Au milieu de la phrase comme en parenthèse, ἐὰν μέν τις ϰαὶ χαριέντως ἔχων τὸ σῶμα τελευτήσῃ ϰαὶ ἐν τοιαύτῃ ὥρᾳ, et si le mort était beau, il conserve la beauté qu’il avait avant sa mort. Il ne s’agit point ici de saison, comme le veut encore Wyttenbach, après Dacier.

Page 265. — Puisque l’âme a en elle, comme sa propriété, cet ordre de notions fondamentales qui constituent l’existence, et en portent le nom.

Ὥσπερ αὐτῆς ἐστὶν ἡ οὐσία ἔχουσα τὴν ἐπωνυμίαν τὴν τοῦ ὃ ἔστὶν. (Bekker, p. 76.)

Ce passage se rapporte directement à celui qui pré-