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SUR LE PHÉDON.


NOTES
SUR LE PHÉDON.

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Mêmes secours que pour les trois autres dialogues, et de plus l’édition de Heindorf et celle de Wyttenbach.

Leroi (Paris, 1553) et Dacier ont traduit ce dialogue en totalité. M. Thurot en a traduit le commencement et la fin.


PAGE 187. — Aussi ne fus-je pas saisi de cette pitié pénible, que semblait devoir m’inspirer cette scène de deuil.

Ὡς εἰϰὸς ἂν δόξειεν εἶναι παρόντι πένθει. (Bekker, IIe partie, IIIe vol. p. 6.)

Heindorf : « In his quis non, primo aspectu hœc, παρόντι πένθει, sic juncta de prœsente luctu intelligat ? Quod si facies, aut ἐν præfigi his debebit, conjecturá sanè parum probabili, aut hœc pro dativis absolutis agnosci, quorum certam et evidens exemplum equidem adhuc nullum vidi. Ergò παρόντι ad μοι referendum, ei