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NOTES
SUR L’EUTHYPHRON.

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Je préviens que, pour ce dialogue, comme pour les trois autres dont se compose ce volume, j’ai fait quelques emprunts aux traductions existantes, toutes les fois que le système de fidélité et d’exactitude littérale que je me suis imposé, me l’a permis.

Quant, à ces notes, le seul but que je m’y suis proposé, est de rendre compte de mon opinion personnelle et de m’absoudre du reproche de légèreté, lorsque j’ai cru devoir m’écarter de l’interprétation généralement reçue, ou lorsque, sur des points difficiles et fréquemment controversé, il a fallu me décider entre plusieurs autorités célèbres.

J’ai eu constamment sous les yeux les éditions générales de H. Étienne et de Bekker ; les éditions particulières de Forster, de Fischer, de Wolf (Berlin, 1820) ; la traduction latine de Ficin, la traduction al-