poète. Enfin, il faut τῶν Δία σόφων ὄχλος κρατῶν, et, malgré la singularité de la construction, faire de Δία le régime de κρατῶν, ce qui reproduit le reproche perpétuel de l'ancienne comédie contre la philosophie. Il est évident, contre Stallbaum et Ast, que ὅτι ἆρα πένονται est un fragment poétique et non pas une réflexion de Platon ; car cette réflexion serait assez sotte, prise au sérieux, et très peu piquante, si elle voulait être badine.
Page 271. — … meurent plus ou moins promptement, selon qu'ils sont plus ou moins mé- dians. Bfkker, p. 4°/5 : , καὶ ὑπ’ αὐτοῦ, τοῦ ἀποκτιννύντος τῇ ἑαυτοῦ φύσει, ἀποθνῄσκειν τοὺς λαμβάνοντας αὐτό, τοὺς μὲν μάλιστα θᾶττον, τοὺς δ’ ἧττον σχολαίτερον, ἀλλὰ μὴ, ὥς περ νῦν διὰ τοῦτο ὑπ’ ἄλλων δίκην ἐπιτιθέντων ἀποθνῄσκουσιν οἱ ἄδικοι.
Je construis : τοὺς λαμβάνοντας αὐτὸ ἀποθνήσκειν ὑπ' αὐτοῦ τούτου ἀποκτινύντος τῇ ἑαυτοῦ φύσει. Αὐτό et ὑπ' αὐτοῦ τούτου est l'injustice qui, reçue dans l'ame, tue par sa propre force. Ὑπ' αὐτοῦ τούτου est repris plus bas par διὰ τούτου, qui ne peut être que l'injustice. Il est étonnant queSchleiermaeher ait rapporté τῇ ἑαυτοῦ φυσ. à ἀποθνήσκειν, au lieu de le rapporter a ἀποκτιννύντος. Il est plus étonnant encore que Schleiermacher ait joint ensemble μάλιστα et θᾶττον, sehr früh, ainsi que