génération et de la corruption. — Oui. — Qu'ils aiment cette science tout entière , sans renoncer volontairement à aucune de ses parties… BEKKER, p. 276:… δηλοῖ ἐκείνης τῆς οὐσίας… καὶ ὅτι πάσης αὐτῆς…
On peut fort bien vouloir lire avec Ast, d'après une leçon fournie par Themistius, qui cite ce passage (Orat., XXI) : δηλοῖ ἐκείνην τὴν οὐσίαν, ou sous-entendre τι en maintenant ἐκείνης τῆς οὐσίας avec tous les autres critiques On peut aussi douter s'il faut rapporter πάσης αὐτῆς à ἐκείνης τῆς οὐσίας avec Schneider, ou bien avec Ast et Stallbaum à ἐποστήμης ou μαθήσεως implicitement renfermés dans μαθήματος qui précède. Cependant, quoique cette dernière explication soit fort soutenable, il est étrange d'avoir recours à cet expédient quand le texte présente un relatif naturel dans ἐκείνης τῆς οὐσίας ; et Schneider prouve que l'essence des choses, bien qu'immuable et une en elle-même, a pourtant comme diverses parties dans les diverses idées harmoniques entre elles, mais pourtant distinctes, qui la caractérisent. Il ne faut donc pas dire avec Stallbaum : erunt qui οὐσίας intelligendum censeant ; sed hi videant ne intelligendo nihil intelligant. Schleiermacher traduit un peu vaguement : sie dieses ganz begehren. La vraie relation de dieses, dans la