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των, τὰ τινὸς s’entendant fort bien. Schleiermacher traduit : und den Durst, sprach ich, wirst du denn nicht unter diejenigen Dinge setzcn, die was sie sind auf etwas gehend sind. Mais je me joins à Stallbaum pour la phrase suivante. Socrate, après avoir demandé à Glaucon s’il ne mettra pas la soif parmi les choses qui sont relatives, interrogation générale et abstraite, la particularise en ajoutant : Quand on a soif, n’a-t-on pas soif de quelque chose ? La soif n’a-t-elle pas un objet ? À quoi Glaucon est forcé de répondre : oui, la boisson. Socrate n’affirme pas ce qu’il vient tout à l’heure de demander, comme le prétend Schneider, mais il fait ce qu’on ne peut pas trop faire en logique, il résout la question en la posant bien. Je ne puis donc admettre la leçon des manuscrits ἔστι δὲ δή που δίψος, et je lis avec Morgenstern ἔστι δὲ δή του δίψος, génitif qui amène tout naturellement l’autre génitif πώματός γε. Les deux bons manuscrits de Munich et de Florence mettent sur la voie de cette leçon par celle qu’ils donnent : καὶ ἔστι δή που τὸ δίψος δίψος του. C’est le commentaire de la bonne leçon, commentaire que Stallbaum a mal à propos introduit dans le texte.


Page 236. — Des cadavres sur le lieu des supplices. Bekker, p. 203 : νεκροὺς παρὰ τῷ δημίῳ κειμένους.

Tous les manuscrits donnent δημίῳ, au lieu de δημείῳ